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Solitude.

Tu es la compagne de mes jours et de mes nuits.

Jamais tu ne me fuis.

Tu es toujours là.

Installé en moi, depuis très longtemps déjà.

Qui viendra, te déloger de là ?

C’est peut-être, celle qui passe au loin là-bas ?

Qui serez capable de te bannir de mon esprit.

De libérer celui-ci, de l’importance, que tu as pris.

Un petit remède.

Qui peut me venir en aide.

C’est le dialogue avec autrui.

Qui jamais ne nuit.

Compensation futile, car, aussitôt terminer ce dialogue.

Je me retrouve seul, comme dans un monologue.

Ne me parlant qu’a moi-même, interpellant mon moi intérieur.

Qui ne se montrent aux autres, que sous son aspect le plus rieurs.

Par peur d’être pris en pitié, par des âmes charitables.

Qui se croient toujours capables. 

De faire sortir n’importe qui, des solitudes les plus profondes.

Paraître, toujours paraître fort, devant le monde.

Tout en étant, seul dans la tête, seul dans la vie.

Solitude.

Tu perturbes ma quiétude.

Même parmi une foule immense.

Je ressens ta présence.

Tellement tu es intense.

Un peu comme une souffrance.

Tellement, omniprésente.

Au point de devenir blessante.

Pour une âme supportant cette offense.

Cela se traduit par un certain manque de confiance.

Entraînant une difficulté supplémentaire pour trouver cette présence.

Qui est la pièce manquante pour atteindre la jouissance.

D’une vie épanouie.

Capable d’envoyer, cette solitude au plus profond d’un puits.

Pour qu’elle ne vienne plus hanter mon esprit.

Libérer celui-ci.

D’un poids.

Qui cause tant et tant d’émoi.

Juste là, en moi.

Mais que personne ne vois.

Le masque de joyeux drille, faisant son effet.

Montrant ainsi, la possibilité de surmonter les méfaits.

De la solitude.

Qui par habitude.

Fini par se fondre, parmi la multitude de sentiment, qui forme la complexité de l’esprit humain.

Aujourd’hui tout comme demain.

 Estéban.

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