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Ma vie d'extra-terrien !

  • Le Relais des Rêves.

    Etre le relais du bien

    Pour rendre le sourire à nos chérubins

    Quelle belle quête

    D’ainsi réaliser leurs requêtes

    Pour illuminer leurs yeux

    D’un regard merveilleux

    Seul capable de faire régresser leur mélancolie

    Que provoquent leurs maladies

    Non ce n’est pas un leurre, ces rêves font bel et bien fléchir leurs douleurs

    En leur mettant du baume au cœur

    Rempli de cette chaleur humaine

    Qui n’est jamais vaine

    Bien au contraire elle est une source intarissable de merveille

    Qui veille

    A octroyer de la force de vie

    Pour que brillent leurs étoiles à l’infini

    Au firmament

    De ce que fut ce moment

    Où leurs corps n’étaient que délectation

    De ce pur instant d’émotion

    Rêver est essentiel à la vie

    Car c’est avoir l’envie

    De réaliser ce que l’on a au plus profond de soi

    D’avoir cette foi.

    Chevillée au corps qu’un jour notre souhait sera réalisé

    Que notre vie ne sera que félicité

    Un aboutissement complet

    De l’être que l’on est

    Le Relais des Rêves ressemble à une journée ensoleillée

    Faite pour tous nous émerveiller

    Faite pour faire naître en nous une chaleur intense

    Une joie immense

    D’avoir été acteur d’un moment d’échange

    De partage

    De saisir une opportunité

    D’amitié.

    Merci d’exister.

    Tous ces rêves réalisés.

    C’est de l’amour à l’état pur

    Qui rend le futur

    Plus beau, plus suave, pour ces petits êtres de douceurs

    Qui ont tant besoin de chaleur

    De sentir derrière eux ce formidable élan de solidarité

    Cela les rend heureux et pleins de gaieté.

     Estéban.

  • Salut l’artiste.

    Merci mon ami, d’avoir croisé ma route.

    Ensemble nous partagions nos doutes

    Et nos espoirs d’un jour pouvoir aimer

    Et de se sentir aimé.
    De ce manque, nous en avons fait une force

    Capable de nous faire croire en nos chances

    De pouvoir un jour croiser la passion amoureuse

    Qui rendrait nos vies totalement heureuses.

     

    Merci mon ami, d’avoir enrichi mon existence

    En m’exposant ton vécu, en osant te mettre à nu sans défiance

    En me confiant le moindre de tes états d’âme

    Tant il est vrai que ces nombreuses blessures sentimentales perturbaient nos âmes

    Durant nos discussions interminables, nous comparions nos différentes théories

    Afin de devenir des charmeurs épanouis

    Capables d’oser la vie.

    Ton désir d’aimer était chevillé au corps

    Et te rendait plus fort.

    Ton charisme latent a donné beaucoup de force et de certitude

    A tes compagnons de solitude

    Qui étaient comme toi à la recherche de tendresse

    A la recherche de charnelles caresses.

     

    Merci mon ami, d’avoir partagé ces instants exquis

    De nombreux souvenirs me reviennent à l’esprit

    Nos balades

    Où nous roulions comme des malades

    Nos chariots se transformaient en exutoire de notre différence

    Puisque nos apparences

    Nous cataloguaient.

    Nous allions choquer

    Les esprits, de ceux qui nous regardaient

    Nous éclater

    Tes manœuvres « fauteuilistiques » sur la piste de danse

    Te mettaient en transe et marquaient les consciences.

     

    Merci mon ami, d’avoir montré à tous par le biais de tes textes ciselés

    Qu’infirmité ne rimait pas avec médiocrité

    Qu’il fallait voir en toi un être humain délicat et doué pour l’écriture

    Qui illustrait d’une belle manière les peintures

    De ton ami.

    En faisant transpirer ta sensibilité, son œuvre tu as embellie

    Content que tu aies concrétisé ton rêve en rencontrant

    L’amour qui te manquait tant.

    Par malheur

    Tu nous as quittés trop tôt pour profiter pleinement de ton bonheur.

    Tu laisseras une trace indélébile dans l’esprit de tous ceux qui ont croisé ta route

    A qui tu auras ôté beaucoup de doutes

    A ceux qui comme toi cherchent l’amour de leur vie.

    C’est avec beaucoup de tristesse que je te dis

    Salut l’artiste !

     Estéban.

  • Souvenirs.

    Tu viens de partir.

    Mais tous nous garderons, de toi, un bon souvenir.

    Tous ces gestes de sympathie, lors de ta disparition.

    Ne sont qu'illustrations.

    De ce que fut ta vie,

    Une suite de rencontres jamais taries.

    Tant et tant de gens ont croisé ton chemin.

    Certains t'aidèrent à surmonter  tes moments de chagrin.

    D'autres partagèrent tes rires.

    Que tu ne rechignais pas à répandre.

    Montrant ainsi, que ta vie pouvait être pleine de gaieté.

    Et non pas placé sous le signe de la morosité.

    Qu'il vaut mieux rejeter.

    Lorsque l'on est handicapé.

    Sinon on passe toute sa vie à se morfondre.

    Cherchant un coupable à confondre.

    Inutile de se tracasser l'esprit, avec ces choses futiles.

    Il est plus utile.

    De vivre tout simplement,

    En profitant de l'instant présent.

    D'apprécier tout ce qui fait une vie bien remplie.

    Comme toutes ces sorties.

    Que nous vécûmes tous ensemble.

    Nous en avons passé des moments formidables.

    Ce qui te faisait du bien, c'est indéniable.

    C'est toutes ces discussions interminables.

    Durant lesquels, tu me confiais tes espérances, tes inquiétudes.

    Une seule chose perturbait ta quiétude.

    Trouver l'âme sœur avant que ton heure n'arrive.

    Cette quête te faisait vivre, espérant que cela arrive.

    Malheureusement, tu nous as quittés,

    Tu laisses derrière toi, un vide difficile à combler.

    Heureusement, tu nous laisses des souvenirs.

    Des moments de véritable plaisir.

    Que beaucoup d'entre nous ont partagé avec toi.

    Et c'est avec beaucoup d'émoi.

    Que je viens te dire adieu.

     Salut, mon vieux.

    Tu resteras pour toujours ancré dans nos mémoires.

     Estéban.

  • Hymne à la tolérance.

    Durant cette période de recueillement universel il est primordial de lutter contre l’intolérance irrévérencieuse

    Qui pourrait naître de manière silencieuse

    Tant le choc, par son incommensurable violence, a mis à mal nos convictions fondamentales

    Pourquoi ce déchainement d’inhumanité arbitraire frisant la confusion mentale

    Nous ne pourrons jamais admettre qu’un être humain puisse à ce point être pernicieux

    Vouloir anéantir à tout prix son prochain car ce dernier n’adhère pas aux mêmes valeurs c’est particulièrement vicieux

    Accepter l’autre tel qu’il est avec ses propres attentes, ses différences (physiques, religieuses, philosophiques), sa culture

    C’est la tolérance notre futur

    Pas l’obscurantisme exacerbé qui est affiché par certains

    Pour annihiler nos lendemains

    Notre avenir c’est donner de l’amour avec un grand A pour faire renaître notre humanisme

    Aimer viscéralement pour apaiser ce douloureux traumatisme

    Continuer à exister coûte que coûte comme des assoiffés de l’existence

    Vivre chaque instant de manière vraiment intense

    Profiter de la vie sans jamais rien craindre

    Sans jamais feindre

    Pour faire un pied de nez à nos opposants

    Qui espèrent nous voir succomber à la haine de l’autre, nous ne tomberons pas dans ce piège flagrant

    Des desseins nauséabonds de cette bête immonde qu’est la xénophobie

    Qui ne deviendra jamais notre hobbit

    Prônons la tolérance dans nos démocraties

    Plutôt que l’autarcie

    Synonyme de repli sur soi

    Et capable de tarir toutes nos voix

    En notre république gardons la foi

    Par le passé elle a surmonté l’effroi de nombreuses fois

    Car c’est elle qui survivra

    Jamais l’intransigeance ne gagnera

    Nous sommes plus forts que la bêtise humaine émérite en grande cruauté

    Pour essayer de bannir toute la beauté

    De notre cher pays

    Tant chéri

    Nous sommes vilipendés

    Pour tenter d’exclure toute notre diversité

    Qui est une de nos plus grandes fiertés

    Nous sommes toujours en capacité

    D’être solidaire

    Quand l’adversité cherche à nous faire taire

    Nous devenons alors refractaire à la haine

    Qui est toujours vaine

    Et qui ne circulera jamais dans nos veines

    Quoiqu’il advienne

    Nous resterons toujours les mêmes

    Fiers et debout

    Nous resterons

    Les gardiens de la tolérance absolue

    Envers et contre tout.

     Estéban.

  • Hymne à l'amour.

    L’amour, ce sentiment incomparable,

    Inégalable et presque impalpable,

    Surgissant toujours quand on s’y attend le moins

    Mais arrivant toujours à brûle-pourpoint.

    Il fait naître instantanément la passion amoureuse

    Qui rend nos vies profusément heureuses.

    L’amour est comme une fontaine intarissable

    Prodiguant un épanouissement personnel considérable,

    Tout ce qui nous entoure se sublime,

    Même les choses les plus infimes.

    Son éclosion provoque une joie extrême.

    C’est indubitablement le sentiment suprême.

    Un bien-être capable de nous faire déplacer des montagnes,

    De transcender nos âmes.

    Sa fin peut faire aussi souffrir.

    A son âme sœur qu’il est appréciable de s’offrir.

    Car c’est sa quête qui nous fait exister.

    Oh ! Qu’il est délicieux d’aimer !

    L'amour, tous nous le cherchons

    Et quand enfin nous le trouvons,

    Il nous met toujours en émoi

    Et nous transpose à chaque fois !

    Nous ne souhaitons jamais sa fin.

    De lui nous avons toujours faim.

    Ce sentiment est si sain

    Qu’il nous faut le préserver à toute fin

    Si tous nos actes sont faits avec amour,

    On recevra toujours en retour.

    Si le monde entier s'aimait

    Jamais la guerre ne germerait.

    Nous aspirons tous à ce que cette paix soit un jour enfin déniché

    Pour que nous vivions à jamais dans la sérénité.

    A défaut de la trouver

    On peut au moins l'espérer

    Mais il ne faut pas non plus se voiler la face

    Cette terre d'amour ultime subrepticement s’efface

    Lorsque la haine refait surface

    L’amour trépasse

    A cause d’esprits étriqués

    Et hébétés

    Qui veulent bannir la différence

    Car elle les dérange dans leur outrecuidance

    A avoir pour l’étranger de la méfiance

    A cause de leur ignorance

    Prônons l’amour à tout va

    Car de l’ineptie nous sommes las

    On peut toujours faire procréer ce sentiment entre les êtres qui jamais ne cessent d'aimer.

    Ceux pour qui l'amour est toutes leurs vies, leurs envies d’exister

    Leurs raisons d'être

    Sans jamais paraître.

    Aimant l'autre tel qu'il est sans jamais le juger.

    Chaque être humain mérite d’être respecté

    Ce sentiment indescriptible,

    Cette envie irrésistible

    D’aimer son prochain

    Cela doit devenir notre destin

    D’amour faisons un festin

    Pour être serein

    Tel doit être à l’avenir notre dessein.

     Estéban.

  • Hymne aux femmes.

    L’humanité serait devenue infâme.

    Sans vous les femmes.

    Qui avait apporté votre tendresse !

    Capable, à elle seule, de combler toutes nos faiblesses.

    L’homme et son ego.

    Sont responsable de tant de guerre et de fléau.

    Sans vous mesdames.

    Notre terre ne serait qu’un champ de bataille sans âmes.

    Car, nous n’aurions jamais d’état d’âme.

    Et nous ne vivrions que dans le drame.

    Heureusement que le monde se conjugue au féminin.

    Sinon quel aurait été notre destin ?

    La femme est le garde-fou de nos pulsions exacerbées.

    Sans elle que deviendraient nos bébés.

    Vous les mères.

    Et votre affection si particulière.

    Que vous donnez à vos enfants.

    Vous relie pour toujours à vos descendants.

    Comme un cordon ombilical invisible. 

    Qui jamais ne se brise.

    Vous les femmes.

    Avez la capacité de ressentir les choses d’une façon plus approfondis que nous les hommes.

    Et vous êtes aussi capable de pressentir des choses anodines.

     Grâce à ce que l’on nomme l’intuition féminine.

    Une sorte de sixième sens.

    Que vous maîtrisez avec aisance et bon sens !

    Comment ne pas vous désirer ?

    Comment ne pas, à vos charmes, succomber ?

    Aux vues de toutes vos beautés.

    Que vous savez si bien valoriser !

    Lorsque vous brillez ainsi, de mille feux.

    Nos cœurs s’enflamment, et se consument à petit feu.

    Quel homme n’a jamais perdu la tête ?

    Pour une femme aux lignes parfaites.

    Tous nos sens sont émoustillés.

    Rien qu’en pensant au plaisir, qu’une main, aurait à caresser.

    Ce corps tant désiré.

    De cette compagne idéale juste faîte pour être aimé.

    Et que chacun d’entre nous, cherche et espère trouver.

    Pour combler ce vide incommensurable.

    Qui fait souffrir bon nombre de cœurs solitaires, d’une manière insupportable.

    Un seul baiser de vous.

    Serait capable de nous rendre totalement fou.

    Fou d’amour pour vous.

    Que l’on désire plus que tout.

    Sans vous les femmes

    Que seraient nos vies ?

    Sans votre amour infini.

    Quel plaisir : de vous côtoyer, de vous choyer, de vous aimer.

    Vous qui êtes tout pour nous.

    Et ça je vous l’avoue.

    Une vie sans connaître votre tendresse.

    Ne serait que tristesse.

    Estéban.

  • Solitude.

    Tu es la compagne de mes jours et de mes nuits.

    Jamais tu ne me fuis.

    Tu es toujours là.

    Installé en moi, depuis très longtemps déjà.

    Qui viendra, te déloger de là ?

    C’est peut-être, celle qui passe au loin là-bas ?

    Qui serez capable de te bannir de mon esprit.

    De libérer celui-ci, de l’importance, que tu as pris.

    Un petit remède.

    Qui peut me venir en aide.

    C’est le dialogue avec autrui.

    Qui jamais ne nuit.

    Compensation futile, car, aussitôt terminer ce dialogue.

    Je me retrouve seul, comme dans un monologue.

    Ne me parlant qu’a moi-même, interpellant mon moi intérieur.

    Qui ne se montrent aux autres, que sous son aspect le plus rieurs.

    Par peur d’être pris en pitié, par des âmes charitables.

    Qui se croient toujours capables. 

    De faire sortir n’importe qui, des solitudes les plus profondes.

    Paraître, toujours paraître fort, devant le monde.

    Tout en étant, seul dans la tête, seul dans la vie.

    Solitude.

    Tu perturbes ma quiétude.

    Même parmi une foule immense.

    Je ressens ta présence.

    Tellement tu es intense.

    Un peu comme une souffrance.

    Tellement, omniprésente.

    Au point de devenir blessante.

    Pour une âme supportant cette offense.

    Cela se traduit par un certain manque de confiance.

    Entraînant une difficulté supplémentaire pour trouver cette présence.

    Qui est la pièce manquante pour atteindre la jouissance.

    D’une vie épanouie.

    Capable d’envoyer, cette solitude au plus profond d’un puits.

    Pour qu’elle ne vienne plus hanter mon esprit.

    Libérer celui-ci.

    D’un poids.

    Qui cause tant et tant d’émoi.

    Juste là, en moi.

    Mais que personne ne vois.

    Le masque de joyeux drille, faisant son effet.

    Montrant ainsi, la possibilité de surmonter les méfaits.

    De la solitude.

    Qui par habitude.

    Fini par se fondre, parmi la multitude de sentiment, qui forme la complexité de l’esprit humain.

    Aujourd’hui tout comme demain.

     Estéban.

  • Planète bleue.

    Sur ton sol est née la vie.

    Au début régnait l'harmonie.

    La flore et la faune croissaient.

    Les continents se formaient.

    Les premiers singes naquirent.

    Les homo sapiens suivirent.

    L'humanité venait de naître.

    Avec elle, les problèmes allaient apparaître.

    Les actes des hommes modifiaient la terre.

    Les premières blessures de notre mère.

    L'industrialisation fit son œuvre.

    Mais ce ne fut pas un chef-d'œuvre.

    La pollution fit son apparition.

    Vint ensuite la faune en voie de disparition.

    Notre prise de conscience fut longue.

    Emporté par notre fougue.

    Nous faisions tout et n'importe quoi.

    Nous étions sans foi ni loi.

    Notre planète souffrait en silence.

    Quelques-uns prirent sa défense.

    Se rendant compte qu'il fallait agir.

    Pour pas que cela empire.

    Greenpeace fut le premier.

    Mais Cousteau ne fut pas le dernier.

    L'écologie existerait pour longtemps.

    Soigner sa planète, cela prend du temps.

    Le ministère de l'environnement.

    Entra dans le mouvement.

    Afin de surveiller les bêtises des hommes.

    Qui atteignent vraiment des summums.

    L'évolution de la pollution peu subtile.

    Comme le nucléaire de Tchernobyl.

    Ce nuage qui nous fit redescendre sur terre.

    À cause d'un manque de savoir-faire.

    L'humanité a eu vraiment peur.

    De ne plus jamais revoir une seule fleur.

    Espérons que le nouveau millénaire.

    Verra une prise de conscience planétaire.

    Des efforts ont déjà été réalisés.

    Le recyclage est maintenant pratiqué.

    La voiture propre existe.

    Elle n'est maintenant plus un mythe.

    Des solutions sont proposées.

    Il ne manque que la volonté.

    Tous ensemble, faisons des efforts.

    Pour diminuer nos torts.

    Notre planète ne s'en portera que mieux.

    Les générations futures nous remercierons, de nos prises de position, si nous devenons plus soucieux.

    Pour ne pas ternir sa beauté.

    Évitons de la saccager.

    Soyons tolérants.

    Envers notre environnement.

    Célébrons notre mère nourricière.

    Et longue vie à la terre.

    Estéban.

  • La politique.

    12250094_10153712498981445_700578559431387956_n.jpgLa politique est-elle un art ?

    Qui rime avec bobards.

    Ou bien allie t-elle l'art et la manière,

    De se complaire à plaire.

    Dans ces différentes formations,

    On y trouve des moyens d'expressions. 

    Des idées, y naissent.

    Et se développent sans cesse.

    En évitant la langue de bois,

    On crée de bonnes lois.

    Même si certains font de la politique.

    Avec des idées diaboliques.

    Mais dans une démocratie,

    Ce que l'on aime et apprécie.

    C'est la parole pour tous.

    Même si certains fous.

    Prône des idées racistes.

    Et milite avec leurs candidats en liste.

    Pour une France,

    Qui rimerait avec intolérance !

    Soyons vigilants.

    Pour que nos enfants.

    Ne vivent pas dans une société.

    Sans liberté, sans égalité.

    Et où la fraternité serait devenue vaine.

    Dans l'urne ou,  la bêtise humaine.

    Aurait entassé toute sa violence.

    Par peur de la différence.

     Estéban.